Acheter Bittensor (TAO), c’est facile !

Pourquoi acheter Bittensor (TAO) ?

Pourquoi devriez-vous envisager d’acheter dans Bittensor (TAO) ? Si vous êtes en phase avec la mission du projet qui consiste à décentraliser et démocratiser l’accès aux modèles d’IA, c’est peut-être le bon choix pour vous. Bittensor permet la création de modèles d’IA collaboratifs et décentralisés, une caractéristique unique qui la distingue sur le marché.

Avant de décider d’acheter du TAO, il est essentiel de comprendre qu’il s’agit du cœur de tout l’écosystème d’échange de modèles d’apprentissage automatique. Posséder TAO est une condition préalable à l’utilisation du réseau Bittensor, car c’est le seul moyen par lequel les frais de transaction sont payés. Cette clarté peut vous aider à prendre une décision d’investissement éclairée.

Qu’est-ce que c’est ?

Pour décider d’acheter Bittensor (TAO), il faut savoir, au moins à un niveau élevé, comment il fonctionne. Pour ce faire, on peut partir de la vision qui a guidé les premières étapes du projet : surmonter les limites des modèles d’intelligence artificielle centralisés en essayant de développer une infrastructure qui leur permette d’apprendre de manière collaborative, sécurisée et décentralisée.

Comme nous l’avons déjà mentionné, Bittensor est un protocole d’apprentissage automatique décentralisé développé pour faciliter la création et le partage de modèles d’IA à grande échelle. Le mécanisme de consensus actif sur ce réseau est géré par un algorithme de preuve d’intelligence (Proof-of-Intelligence), qui consiste en des nœuds qui évaluent les contributions des uns et des autres en fonction de normes d’utilité et de qualité.

Jacob Robert Steeves et Ala Shaabana, les deux fondateurs du projet, ont tous deux un parcours cohérent avec ce projet ; ils travaillent en effet sur l’intelligence artificielle depuis de nombreuses années. Le premier, actuellement PDG de cette entreprise Web3, a travaillé comme ingénieur logiciel et chercheur en apprentissage automatique pour Google. Shaabana, quant à elle, a poursuivi une carrière universitaire qui s’est achevée par des recherches post-doctorales à l’université de Waterloo, au Canada.